Là où vit la Déesse
Quartier libre - Chapitre 10
Edelgard
Professeur... Quel bonheur de vous revoir. Il semble que vous redeveniez enfin vous-même.
Que vous ayez retrouvé votre regard d'antan est une bénédiction. Cela m'inspire à tenir bon, moi aussi.
Comme vous le savez déjà, l'Ordre de Seiros traque sans relâche les ennemis qui ont réussi à prendre la fuite.
Comptez sur moi pour vous prévenir dès que des informations pertinentes me parviendront.
Si je peux faire quoi que ce soit, Professeur, vous n'avez qu'à le demander. Et si votre cœur réclame vengeance, je suis à votre ordre.
Dimitri
Professeur ! Je suis heureux de vous revoir... J'ai beaucoup... Nous avons beaucoup pensé à vous.
Sachez que vos ennemis sont également les miens. Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour que justice soit faite.
Je ne ferais cette offre à personne d'autre. Mon bras n'appartient qu'à vous.
Ce qui est arrivé à Jeralt m'a rempli de tristesse... Bien sûr, je ne prétends pas que mon chagrin soit comparable au vôtre.
Les membres de l'Ordre recherchent la moindre trace de l'ennemi. Ils ont pour instructions de revenir nous prévenir au moindre indice.
Si c'est la vengeance que vous voulez, Professeur... Vous pouvez compter sur moi.
Claude
Bonjour, Professeur. Je vois que la tempête s'est apaisée dans votre regard. Vous avez l'air en bien meilleures dispositions.
J'ai lu le journal de Jeralt. Le bébé dont il parle, c'était vous, n'est-ce pas ?
Je n'ai pas encore eu à affronter la mort de l'un de mes parents, et je ne prétends donc pas comprendre l'épreuve que vous traversez...
Mais même si vous restez immobile, le monde, lui, continue d'avancer. J'ai toujours trouvé un certain réconfort dans cette pensée.
Hubert
Les membres de l'Ordre traquent les assassins de Jeralt tout autour de Garreg Mach.
Ainsi, les forces armées du monastère sont actuellement réduites au minimum.
Il se pourrait qu'il s'agisse du véritable objectif de l'ennemi. Nous ferions bien de nous préparer à une nouvelle confrontation.
Ferdinand & Petra
Professeur, veuillez me prêter votre attention. Ferdinand parle du domaine de l'impossibilité.
J'ai simplement émis l'avis que s'il vous prenait la fantaisie de regagner Brigid, vous seriez entièrement libre de le faire.
Vous êtes... l'invitée de l'Empire, en quelque sorte. Il ne saurait souffrir que quelque malheur vous échoie, de crainte de l'incident diplomatique qui s'ensuivrait.
À présent que l'un de nos familiers a perdu la vie, on ne saurait nier que votre sécurité n'est plus assurée en ces lieux.
J'ai déjà donné les explications ! J'apprends ici, les choses de l'Académie. Professeur, vous pensez quoi ?
Je ne rentre pas en ma maison si je n'ai pas obtenu mon objectif ! Je n'écoute pas les mots de Ferdinand.
Loin de moi l'intention de vous pousser à faire quoi que ce soit contre votre volonté ! Si j'ai manqué de clarté, je vous prie de me pardonner.
Professeur, veuillez me prêter votre attention. Ferdinand parle du domaine de l'impossibilité.
J'ai simplement émis l'avis que s'il vous prenait la fantaisie de regagner Brigid, vous seriez entièrement libre de le faire.
Vous êtes... l'invitée de l'Empire, en quelque sorte. Il ne saurait souffrir que quelque malheur vous échoie, de crainte de l'incident diplomatique qui s'ensuivrait.
À présent que l'un de nos familiers a perdu la vie, on ne saurait nier que votre sécurité n'est plus assurée en ces lieux.
Linhardt
Je me suis glissé dans la chambre forte à la recherche d'artefacts qui pourraient nous être utiles. Nous savons que l'ennemi cherche à nous tuer, après tout.
Qu'y a-t-il ? J'ai mieux à faire que de demander la permission. Quel est l'intérêt, alors qu'il suffit bien souvent de demander pardon si la situation l'exige ?
Malheureusement, il semble que les chevaliers aient emporté tout ce qui pourrait nous être utile. À part certains objets porteurs d'emblèmes...
Revoilà ce regard réprobateur. Je ne manquerai pas de les remettre en place quand je les aurai étudiés. Ou bien dès qu'ils ne me seront plus utiles.
Caspar
Bernadetta
C'est le moins que je puisse faire. J-J'ai parfois l'impression de passer ma vie à fuir.
Oh ! Qu'est-ce que vous voulez dire par là ? Je sors bien pour assister aux leçons et participer aux missions, non ?
C'est le moins que je puisse faire. J-J'ai parfois l'impression de passer ma vie à fuir.
Dorothea
Dedue
Felix & Sylvain
Ça vous va pas d'avoir l'air sombre, Professeur. Mais je... je suis content de vous voir.
Ça va être plutôt calme, ce mois-ci, je crois. Y a pas beaucoup de chevaliers dans le coin.
C'est pas un peu exagéré ? Je veux bien croire que c'est important, mais c'est vraiment une bonne idée de négliger la sécurité du monastère ?
Je suis d'accord. Envoyer une escouade de chevaliers aux trousses de l'ennemi, pourquoi pas, mais en envoyer autant ? C'est une décision imprudente.
J'espère que l'Ordre va vite terminer ses affaires et se dépêcher de rentrer. Je me sentirais plus à mon aise avec quelques soldats en plus.
Ashe
Mercedes & Annette
Ingrid
Pardonnez-moi... Je ne sais jamais vraiment quoi dire dans des situations comme celle-ci.
Simplement... laissez-vous le temps. Personne ne vous jugera si vous vous autorisez à être triste pendant quelque temps.
Quand on perd un être cher... Eh bien, le deuil est différent pour chacun d'entre nous, mais je connais bien ce chagrin.
Lorenz
Nul ici n'ignorait l'immense courage de Jeralt. Il est certain que sa perte représente un revers des plus accablants.
J'ignore le but que poursuivait l'ennemi, mais une chose est certaine : ils ont signé leur arrêt de mort.
Si mon aide est nécessaire pour que justice soit faite dans les meilleurs délais, elle vous est toute acquise.
Raphael
Ignatz
Lysithea
Je suis sûre que vous vous en sortirez, Professeur. Vous avez une grande force d'âme. En cette période troublée, mieux vaut conserver son calme à tout prix.
Nous ne savons rien de nos ennemis. Si nous les sous-estimons, il est difficile de prévoir les conséquences.
Marianne
Marianne & Hilda
Hilda
Leonie
Seteth
D'abord Tomas, ensuite Monica... J'ai bien une théorie, mais je dois reconnaître qu'il ne s'agit que de supputations.
On m'a rapporté qu'à son retour, le comportement de Monica s'est modifié du tout au tout.
À croire, peut-être, que la véritable Monica avait été tuée et remplacée par un imposteur...
Si l'on considère la chose ainsi, il est tout à fait possible que ce Solon ait pris la place de Tomas il y a quelque temps.
Mais je ne comprends toujours pas comment ils ont réussi à prendre aussi parfaitement l'apparence de leurs victimes.
Flayn
Hanneman
Vous avez perdu un être cher... J'en suis navré. Je vous présente mes condoléances.
Nous ne pourrons prendre en charge l'intégralité de vos classes, mais nous pouvons tout de même vous soulager quelque peu.
J'ai toujours perçu de la résilience dans votre regard. Je suis sûr que vous vous remettrez.
Manuela
Cyril
Rhea
Sothis
Ah, je m'en souviens ! Jeralt te l'a montré devant une tombe, une fois... tu te rappelles ?
Il a dit qu'il voulait qu'il te revienne un jour. Ce qui veut dire qu'il t'appartient.
Il avait même ajouté que tu devrais l'offrir à ton âme sœur, si un jour tu la trouvais.
Il avait même ajouté que tu devrais l'offrir à ton âme sœur, si un jour tu la trouvais.
Hmm... C'est drôlement difficile à déchiffrer, mais on dirait bien qu'il y a une inscription sur le sac...
Ce sont les initiales de Jeralt, non ? Et il y en a deux autres à côté... Oh. Évidemment.
Garde
Marchand louche
Ce qu'on ne peut pas obtenir ici est très souvent disponible dans les souterrains.
Vous ne connaissez pas les souterrains de Garreg Mach ? C'est un vrai paradis pour ceux qui ne peuvent pas rester à la surface.
Moine
Prêtre
Élève
Moine
Monica von Ochs... Il n'y avait pas le moindre détail dans son passé qui aurait pu laisser deviner qu'elle se retournerait contre nous.
Je crains malheureusement de ne pas pouvoir vous être d'une plus grande aide. J'ignore qui l'avait enlevée et la raison de sa séquestration...
Soldat
Élève
Quand j'ai appris que Monica était passée à l'ennemi, ma plus grande surprise a été de constater à quel point je n'étais pas surprise.
Il y avait quelque chose de bizarre chez cette fille. Je ne saurais pas l'expliquer.
Je me demande si Edelgard elle-même... Oh, mais qu'est-ce que je raconte ! C'est la paranoïa qui parle ! Je vous en prie, ne faites pas attention à moi.
Soldat
Sothis
Yuri
C'est Jeralt qui vous a élevé/e, pas vrai ? C'était votre seule famille, si j'ai bien compris. Ça ne doit pas être facile pour vous, en ce moment.
Quand on perd un parent, ça laisse sur nous une trace indélébile. Prenez le temps d'évacuer votre chagrin, ne vous retenez pas.
Mais sachez que votre feu intérieur vous poussera à avancer même dans les temps les plus difficiles.
Je me moque pas mal de qui vous pouvez bien être, je vous conseille juste de retourner d'où vous venez avant qu'il ne vous arrive des bricoles.
À moins que vous ne soyez descendu/e ici sur les ordres de quelqu'un d'autre ? Si c'est le cas, je vous confirme qu'il va vous arriver des bricoles.
Hmm... Vous êtes le/a mercenaire devenu/e professeur, n'est-ce pas ? Celui/le qui est arrivé/e au monastère tout récemment.
Oui, vous êtes bien la personne dont j'ai tant entendu parler. Dans ce cas, ce n'est pas un mal que vous soyez arrivé/e ici.
Balthus
J'avais jamais vu votre tronche avant. Vous êtes pas du coin, ça se voit tout de suite.
Ah, c'est vous le nouveau prof dont tout le monde parle. Je l'avais pas vu venir, vous avez l'air plus jeune que moi. C'est bizarre.
Balthus & Constance
Hé, salut. Vous reprenez du poil de la bête ? C'est bien, c'est bien. C'est important de pas ressasser le passé et tout ça.
Balthus ! Comment pouvez-vous vous montrer si insoucieux ? Avez-vous la moindre idée du drame que vit ce pauvre professeur ?
Ce « pauvre professeur » est juste devant toi. Tu crois pas que c'est tout aussi déplacé de parler de lui/d'elle comme si il/elle était pas là ?
J'admets que vous n'avez pas totalement tort. Pardonnez cet écart à la bienséance, Professeur, et acceptez mes plus sincères condoléances.
Moi je dis, la première étape pour se sentir mieux, c'est une bonne dose de vengeance. Montrez-leur de quel bois vous vous chauffez !
Constance
Qui diantre êtes-vous ? Je ne peux croire en avisant votre mise que vous comptez parmi les résidents habituels de l'Abysse.
Êtes-vous de passage ? L'on ne peut que s'interroger sur l'objet de votre visite.
Oh, un instant... Vous devez être le nouveau professeur nommé par dame Rhea. C'est bien vous, n'est-ce pas ?
Les rumeurs à votre sujet vont bon train, même dans ces souterrains. En ce cas, permettez-moi de me présenter. Constance von Nuvelle.
Qui diantre êtes-vous ? Je ne peux croire en avisant votre mise que vous comptez parmi les résidents habituels de l'Abysse.
Êtes-vous de passage ? L'on ne peut que s'interroger sur l'objet de votre visite.
Oh, un instant... Vous devez être le nouveau professeur nommé par dame Rhea. C'est bien vous, n'est-ce pas ?
Les rumeurs à votre sujet vont bon train, même dans ces souterrains. En ce cas, permettez-moi de me présenter. Constance von Nuvelle.
Qui diantre êtes-vous ? Je ne peux croire en avisant votre mise que vous comptez parmi les résidents habituels de l'Abysse.
Êtes-vous de passage ? L'on ne peut que s'interroger sur l'objet de votre visite.
Oh, un instant... Vous devez être le nouveau professeur nommé par dame Rhea. C'est bien vous, n'est-ce pas ?
Les rumeurs à votre sujet vont bon train, même dans ces souterrains. En ce cas, permettez-moi de me présenter. Constance von Nuvelle.
Hapi
Salut. Ça n'a pas l'air d'aller très fort. Je ne peux même pas imaginer ce que vous êtes en train de traverser.
Un jour, vous accepterez ce qui est arrivé. En attendant, vous avez un tas d'amis sur lesquels vous pouvez compter. Moi y compris.
Vous êtes le nouveau prof, pas vrai ? On vient de vous confier une classe à la surface.
Ici aussi, les gens parlent de vous. Même si certaines rumeurs étaient complètement à côté de la plaque.
J'avais entendu dire que vous étiez pas mal, mais il faut pas croire tout ce qu'on entend.
Anna
J'aimerais bien discuter plus longtemps, mais je suis super occupée à gagner de l'argent. Vous savez ce que c'est.
J'aimerais bien discuter plus longtemps, mais je suis super occupée à gagner de l'argent. Vous savez ce que c'est.
Il y a des troubles partout, ces derniers temps. Aucun de mes collègues marchands ne semble épargné.
J'espère que les choses vont bientôt revenir à la normale. Mes bonnes affaires sont loin de suffire pour redonner le moral aux gens.
Des gens s'y sont installés... Bien sûr, ils ont leurs raisons, et bien des histoires à raconter.
Mais seuls les marchands les plus audacieux osent s'y aventurer. Si vous voulez mon avis, vous ne devriez pas vous en approcher.
Garde de l'Abysse
Enfin, ce n'est peut-être pas le moment. Vous avez pas l'air dans votre assiette. Y a quelque chose qui vous turlupine ?
Si vous avez un truc à signaler, vous pouvez venir me voir. Les amis c'est fait pour ça. Mais si vous avez besoin d'argent, allez voir ailleurs si j'y suis.
Écoutez donc. Vous venez de la surface, pas vrai ? Qu'est-ce que vous venez faire par ici ?
Une minute... Ah, je vois. C'est vous, le nouveau professeur. Dans ce cas, je pense que je peux vous laisser passer.
Bienvenue dans l'Abysse, si on peut dire. Les gens d'ici sont pas des enfants de chœur, alors faites attention à vous.
Résident
Ermite
Moine
Oui, j'ai connu vos parents. Cela fait quelque temps que j'espère pouvoir m'entretenir avec vous.
Je ne suis rien de plus qu'un moine ordinaire. J'ai connu vos parents, il y a bien longtemps.
Auriez-vous l'amabilité d'aller cueillir quelques fleurs pour orner la tombe de votre mère ?
Bien, il est temps pour moi de prendre congé. Prenez bien soin de vous, je vous prie.