Là où vit la Déesse

Professeur... Quel bonheur de vous revoir. Il semble que vous redeveniez enfin vous-même.

Que vous ayez retrouvé votre regard d'antan est une bénédiction. Cela m'inspire à tenir bon, moi aussi.

Comme vous le savez déjà, l'Ordre de Seiros traque sans relâche les ennemis qui ont réussi à prendre la fuite.

Comptez sur moi pour vous prévenir dès que des informations pertinentes me parviendront.

Ce qui est arrivé à Jeralt est... effroyable.

Si je peux faire quoi que ce soit, Professeur, vous n'avez qu'à le demander. Et si votre cœur réclame vengeance, je suis à votre ordre.

Ils ne s'en sortiront pas comme ça.

Professeur ! Je suis heureux de vous revoir... J'ai beaucoup... Nous avons beaucoup pensé à vous.

Sachez que vos ennemis sont également les miens. Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour que justice soit faite.

Je ne ferais cette offre à personne d'autre. Mon bras n'appartient qu'à vous.

Je combattrai pour vous... Je tuerai quiconque vous me désignerez.

Ce qui est arrivé à Jeralt m'a rempli de tristesse... Bien sûr, je ne prétends pas que mon chagrin soit comparable au vôtre.

Les membres de l'Ordre recherchent la moindre trace de l'ennemi. Ils ont pour instructions de revenir nous prévenir au moindre indice.

Si c'est la vengeance que vous voulez, Professeur... Vous pouvez compter sur moi.

Bonjour, Professeur. Je vois que la tempête s'est apaisée dans votre regard. Vous avez l'air en bien meilleures dispositions.

J'ai lu le journal de Jeralt. Le bébé dont il parle, c'était vous, n'est-ce pas ?

Je ne comprends pas la moitié de ce qu'il raconte dans ce passage...

Mais à l'évidence, Jeralt vous aimait de tout son cœur.

Je n'ai pas encore eu à affronter la mort de l'un de mes parents, et je ne prétends donc pas comprendre l'épreuve que vous traversez...

Mais même si vous restez immobile, le monde, lui, continue d'avancer. J'ai toujours trouvé un certain réconfort dans cette pensée.

Je n'ai jamais été très versé dans les condoléances.

Si nous parlions tactique, à la place ?

Les membres de l'Ordre traquent les assassins de Jeralt tout autour de Garreg Mach.

Ainsi, les forces armées du monastère sont actuellement réduites au minimum.

Il se pourrait qu'il s'agisse du véritable objectif de l'ennemi. Nous ferions bien de nous préparer à une nouvelle confrontation.

Professeur, veuillez me prêter votre attention. Ferdinand parle du domaine de l'impossibilité.

Mon discours ne mérite en rien cette qualification.

J'ai simplement émis l'avis que s'il vous prenait la fantaisie de regagner Brigid, vous seriez entièrement libre de le faire.

Vous êtes... l'invitée de l'Empire, en quelque sorte. Il ne saurait souffrir que quelque malheur vous échoie, de crainte de l'incident diplomatique qui s'ensuivrait.

À présent que l'un de nos familiers a perdu la vie, on ne saurait nier que votre sécurité n'est plus assurée en ces lieux.

J'ai déjà donné les explications ! J'apprends ici, les choses de l'Académie. Professeur, vous pensez quoi ?

Je ne rentre pas en ma maison si je n'ai pas obtenu mon objectif ! Je n'écoute pas les mots de Ferdinand.

Loin de moi l'intention de vous pousser à faire quoi que ce soit contre votre volonté ! Si j'ai manqué de clarté, je vous prie de me pardonner.

Professeur, veuillez me prêter votre attention. Ferdinand parle du domaine de l'impossibilité.

Mon discours ne mérite en rien cette qualification.

J'ai simplement émis l'avis que s'il vous prenait la fantaisie de regagner Brigid, vous seriez entièrement libre de le faire.

Vous êtes... l'invitée de l'Empire, en quelque sorte. Il ne saurait souffrir que quelque malheur vous échoie, de crainte de l'incident diplomatique qui s'ensuivrait.

À présent que l'un de nos familiers a perdu la vie, on ne saurait nier que votre sécurité n'est plus assurée en ces lieux.

Je ne rentre pas en ma maison si je n'ai pas obtenu mon objectif ! Je n'écoute pas les mots de Ferdinand.

Loin de moi l'intention de vous pousser à faire quoi que ce soit contre votre volonté ! Si j'ai manqué de clarté, je vous prie de me pardonner.

Je me suis glissé dans la chambre forte à la recherche d'artefacts qui pourraient nous être utiles. Nous savons que l'ennemi cherche à nous tuer, après tout.

Qu'y a-t-il ? J'ai mieux à faire que de demander la permission. Quel est l'intérêt, alors qu'il suffit bien souvent de demander pardon si la situation l'exige ?

Malheureusement, il semble que les chevaliers aient emporté tout ce qui pourrait nous être utile. À part certains objets porteurs d'emblèmes...

Revoilà ce regard réprobateur. Je ne manquerai pas de les remettre en place quand je les aurai étudiés. Ou bien dès qu'ils ne me seront plus utiles.

Je suis encore bien loin d'avoir la force nécessaire.

C'est vrai, Jeralt était carrément plus balèze que moi, et malgré ça...

Assez. Y a pas moyen de savoir ce que l'avenir a en réserve pour ma pomme, mais y a une chose dont je suis sûr.

Quoi qu'il arrive, faut que je me fasse mon propre chemin. Aller toujours plus loin et devenir toujours plus fort !

Professeur ? J'ai... j'ai apporté quelques fleurs. Pour Jeralt.

Enfin... Je vais déposer les fleurs.

Professeur ? J'ai... j'ai apporté quelques fleurs. Pour Jeralt.

Enfin... Je vais déposer les fleurs.

J'ai souvent chanté la mort lorsque j'étais sur scène...

Mais lorsque la tragédie frappe dans la vraie vie, je suis perdue. Je ne trouve pas les mots.

Mais je sais tout de même une chose.

Jeralt devait être très fier de son enfant.

C'est bien triste, ce qui est arrivé à Jeralt.

Je suis désolé. Je ne trouve pas les mots.

Déposez des fleurs sur sa tombe de ma part.

Ça vous va pas d'avoir l'air sombre, Professeur. Mais je... je suis content de vous voir.

Ça va être plutôt calme, ce mois-ci, je crois. Y a pas beaucoup de chevaliers dans le coin.

Beaucoup d'entre eux sont partis à la recherche de l'ennemi.

C'est pas un peu exagéré ? Je veux bien croire que c'est important, mais c'est vraiment une bonne idée de négliger la sécurité du monastère ?

Qu'en pensez-vous, Professeur ?

Non seulement Tomas, mais Monica aussi...

C'est à se demander si on peut encore faire confiance à qui que ce soit, non ?

Et qui sont-ils, ces gens ? Qu'est-ce qu'ils nous veulent ?

Quel bonheur de vous revoir, Professeur. Je me suis fait tellement de souci !

Oh, Professeur, vous devez mourir de faim ! Mercie et moi, nous vous avons préparé un gâteau.

Nous nous sommes dit qu'un bon dessert vous aiderait peut-être à vous sentir un peu mieux.

Pardonnez-moi... Je ne sais jamais vraiment quoi dire dans des situations comme celle-ci.

Simplement... laissez-vous le temps. Personne ne vous jugera si vous vous autorisez à être triste pendant quelque temps.

Quand on perd un être cher... Eh bien, le deuil est différent pour chacun d'entre nous, mais je connais bien ce chagrin.

Cela dit, Professeur...

Nul ici n'ignorait l'immense courage de Jeralt. Il est certain que sa perte représente un revers des plus accablants.

J'ignore le but que poursuivait l'ennemi, mais une chose est certaine : ils ont signé leur arrêt de mort.

Si mon aide est nécessaire pour que justice soit faite dans les meilleurs délais, elle vous est toute acquise.

Dans des moments comme ça, il faut pas se laisser aller, Professeur. Même si ça vous semble impossible.

C'est comme ça que je m'en suis sorti quand j'ai perdu mes parents.

Si vous avez besoin d'un coup de main ou autre, hésitez pas à venir me voir. À la cuisine ou sur le terrain d'entraînement, je suis votre homme.

J'ai peur. J'ai l'impression de ne pas comprendre le monde.

Comment Jeralt, qui était si fort, a-t-il pu finir ainsi ?

Je suis sûre que vous vous en sortirez, Professeur. Vous avez une grande force d'âme. En cette période troublée, mieux vaut conserver son calme à tout prix.

Nous ne savons rien de nos ennemis. Si nous les sous-estimons, il est difficile de prévoir les conséquences.

Je dirai une prière pour l'âme de Jeralt.

Je ne peux guère faire mieux que cela...

Professeur ! Les autres racontent des choses horribles sur Marianne.

Ils disent qu'elle est la complice des méchants ! Si jamais quelqu'un prononce ces horreurs devant moi, je...

Ce n'est rien, Hilda. Ça m'est égal.

Professeur, je suis heureuse de voir que vous avez l'air de vous remettre, mais... Je m'inquiète au sujet de Leonie.

Elle adorait Jeralt. J'espère qu'elle se relèvera de cette épreuve...

Maître Jeralt est mort. Il est parti alors que nous venions à peine de nous retrouver.

Pardon, j'imagine que c'est plus dur encore pour vous, mais je n'arrive pas... je ne peux pas croire...

D'abord Tomas, ensuite Monica... J'ai bien une théorie, mais je dois reconnaître qu'il ne s'agit que de supputations.

Tomas et Monica ont tous les deux disparu pendant un moment.

On m'a rapporté qu'à son retour, le comportement de Monica s'est modifié du tout au tout.

À croire, peut-être, que la véritable Monica avait été tuée et remplacée par un imposteur...

Si l'on considère la chose ainsi, il est tout à fait possible que ce Solon ait pris la place de Tomas il y a quelque temps.

Mais je ne comprends toujours pas comment ils ont réussi à prendre aussi parfaitement l'apparence de leurs victimes.

Vous avez perdu votre père...

Aujourd'hui plus que jamais, je me rends compte de la chance que j'ai eue quand vous m'avez sauvée.

Je vous en suis profondément reconnaissante, Professeur. Je vous remercie.

Si je peux faire quoi que ce soit pour vous en retour, je vous en prie, dites-le-moi, d'accord ?

Vous avez perdu un être cher... J'en suis navré. Je vous présente mes condoléances.

Manuela et moi-même pouvons reprendre une partie de vos tâches du mois.

Nous ne pourrons prendre en charge l'intégralité de vos classes, mais nous pouvons tout de même vous soulager quelque peu.

J'ai toujours perçu de la résilience dans votre regard. Je suis sûr que vous vous remettrez.

Vous possédez une grande force intérieure.

Je dois vous parler d'un sujet qui risque de vous déplaire.

Cela concerne l'arme qui a tué Jeralt. Voulez-vous que je continue ?

Qui étaient-ils, je me le demande...

Entends ma prière, Ô Déesse, et reçois notre bien-aimé frère.

Lorsque la pluie froide purifie son corps, Lorsque le loup et l'oiseau annoncent l'aurore...

Accueille-le dans le fleuve de ton sang bleu, Accueille-le dans l'éclat de l'astre scintillant.

C'est un psaume funèbre de l'Église de Seiros. Dame Rhea me l'a enseigné.

Je vais prier pour que Jeralt soit heureux dans l'autre monde.

Professeur... Comment vous sentez-vous ?

Je sais le poids terrible que le deuil peut faire peser sur un cœur.

J'ai moi-même perdu ma mère il y a longtemps. Ce fut...

Pardonnez cet instant de faiblesse. Les années ont passé, mais je ne peux toujours pas évoquer cette époque sans ressentir une douleur des plus vives.

Sachez seulement que je prie pour que votre esprit s'apaise et que votre cœur retrouve la sérénité.

Hein ? Y a quelque chose là, derrière ce livre ?

Hein ? Y a quelque chose là, derrière ce livre ?

Hein ? Y a quelque chose là, derrière ce livre ?

Cet anneau ! Je l'ai déjà vu...

Ah, je m'en souviens ! Jeralt te l'a montré devant une tombe, une fois... tu te rappelles ?

Il a dit qu'il voulait qu'il te revienne un jour. Ce qui veut dire qu'il t'appartient.

Il avait même ajouté que tu devrais l'offrir à ton âme sœur, si un jour tu la trouvais.

Il avait même ajouté que tu devrais l'offrir à ton âme sœur, si un jour tu la trouvais.

Hein ? Y a quelque chose là, derrière ce livre ?

Hmm... C'est drôlement difficile à déchiffrer, mais on dirait bien qu'il y a une inscription sur le sac...

Ce sont les initiales de Jeralt, non ? Et il y en a deux autres à côté... Oh. Évidemment.

Il me semble qu'il existe une coutume populaire par laquelle un homme et une femme échangent leurs vœux et leurs anneaux. Tu la connais ?

Ça doit être l'anneau que Jeralt avait donné à ta mère...

Il me semble qu'il existe une coutume populaire par laquelle un homme et une femme échangent leurs vœux et leurs anneaux. Tu la connais ?

Ça doit être l'anneau que Jeralt avait donné à ta mère...

Merci pour tout ce que vous avez fait pour nous, Professeur. Rien à signaler, aujourd'hui.

Snif...

Ce qu'on ne peut pas obtenir ici est très souvent disponible dans les souterrains.

Vous ne connaissez pas les souterrains de Garreg Mach ? C'est un vrai paradis pour ceux qui ne peuvent pas rester à la surface.

Les imbéciles qui vivent dans l'Abysse ne font que nous causer du souci...

Nous ferions mieux de purger les souterrains de Garreg Mach.

D'abord Tomas, ensuite Monica... Je regrette tellement. Tout est de notre faute.

Nous n'avons pas vu que l'ennemi était dans nos murs, et voilà que Jeralt... Pardonnez-moi. Rien de ce que je pourrais dire ne rachètera cette erreur.

Ne baissez jamais votre garde, Professeur. Même pas dans l'enceinte du monastère.

Qui sait si un autre ennemi ne s'y dissimule pas...

Dites, Professeur, croyez-vous que nous allons quand même obtenir nos diplômes, avec tout ça ?

Si le danger continue à nous menacer à tout moment, qui sait... Quelle angoisse !

J'espère que tout le monde, étudiants comme professeurs, sera là pour la cérémonie de remise des diplômes...

Monica von Ochs... Il n'y avait pas le moindre détail dans son passé qui aurait pu laisser deviner qu'elle se retournerait contre nous.

Il a dû se produire quelque chose lorsqu'elle a disparu l'année dernière...

Je crains malheureusement de ne pas pouvoir vous être d'une plus grande aide. J'ignore qui l'avait enlevée et la raison de sa séquestration...

Jeralt et moi nous entraînions encore ensemble il y a quelques jours...

Pourquoi... pourquoi a-t-il fallu qu'il meure ?!

Quelle atrocité ! Il ne le méritait pas !

Quand j'ai appris que Monica était passée à l'ennemi, ma plus grande surprise a été de constater à quel point je n'étais pas surprise.

Il y avait quelque chose de bizarre chez cette fille. Je ne saurais pas l'expliquer.

Maintenant que j'y pense, elle passait tout son temps libre avec Edelgard.

Je me demande si Edelgard elle-même... Oh, mais qu'est-ce que je raconte ! C'est la paranoïa qui parle ! Je vous en prie, ne faites pas attention à moi.

L'autre soir, j'ai... j'ai eu l'honneur de partager un verre avec Jeralt.

Il avait peu de tact, je dois le reconnaître. Il était parfois brutalement direct. Mais...

Dès qu'il parlait de vous, on ne voyait plus que la fierté d'un père comblé.

Tu peux pleurer, si tu veux. Je suis là si tu as besoin de moi.

C'est Jeralt qui vous a élevé/e, pas vrai ? C'était votre seule famille, si j'ai bien compris. Ça ne doit pas être facile pour vous, en ce moment.

Quand on perd un parent, ça laisse sur nous une trace indélébile. Prenez le temps d'évacuer votre chagrin, ne vous retenez pas.

Mais sachez que votre feu intérieur vous poussera à avancer même dans les temps les plus difficiles.

Je me moque pas mal de qui vous pouvez bien être, je vous conseille juste de retourner d'où vous venez avant qu'il ne vous arrive des bricoles.

À moins que vous ne soyez descendu/e ici sur les ordres de quelqu'un d'autre ? Si c'est le cas, je vous confirme qu'il va vous arriver des bricoles.

Hmm... Vous êtes le/a mercenaire devenu/e professeur, n'est-ce pas ? Celui/le qui est arrivé/e au monastère tout récemment.

Oui, vous êtes bien la personne dont j'ai tant entendu parler. Dans ce cas, ce n'est pas un mal que vous soyez arrivé/e ici.

Vous pouvez m'appeler Yuri. Souvenez-vous-en si vous comptez revenir par ici.

J'avais jamais vu votre tronche avant. Vous êtes pas du coin, ça se voit tout de suite.

Ah, c'est vous le nouveau prof dont tout le monde parle. Je l'avais pas vu venir, vous avez l'air plus jeune que moi. C'est bizarre.

Moi c'est Balthus. Je viens de l'Alliance.

J'avais jamais vu votre tronche avant. Vous êtes pas du coin, ça se voit tout de suite.

Ah, c'est vous le nouveau prof dont tout le monde parle. Je l'avais pas vu venir, vous avez l'air plus jeune que moi. C'est bizarre.

Moi c'est Balthus. Je viens de l'Alliance.

Hé, salut. Vous reprenez du poil de la bête ? C'est bien, c'est bien. C'est important de pas ressasser le passé et tout ça.

Balthus ! Comment pouvez-vous vous montrer si insoucieux ? Avez-vous la moindre idée du drame que vit ce pauvre professeur ?

Ce « pauvre professeur » est juste devant toi. Tu crois pas que c'est tout aussi déplacé de parler de lui/d'elle comme si il/elle était pas là ?

J'admets que vous n'avez pas totalement tort. Pardonnez cet écart à la bienséance, Professeur, et acceptez mes plus sincères condoléances.

Moi je dis, la première étape pour se sentir mieux, c'est une bonne dose de vengeance. Montrez-leur de quel bois vous vous chauffez !

Qui diantre êtes-vous ? Je ne peux croire en avisant votre mise que vous comptez parmi les résidents habituels de l'Abysse.

Êtes-vous de passage ? L'on ne peut que s'interroger sur l'objet de votre visite.

Oh, un instant... Vous devez être le nouveau professeur nommé par dame Rhea. C'est bien vous, n'est-ce pas ?

Les rumeurs à votre sujet vont bon train, même dans ces souterrains. En ce cas, permettez-moi de me présenter. Constance von Nuvelle.

C'est un plaisir de faire votre connaissance, ho ho ho.

Qui diantre êtes-vous ? Je ne peux croire en avisant votre mise que vous comptez parmi les résidents habituels de l'Abysse.

Êtes-vous de passage ? L'on ne peut que s'interroger sur l'objet de votre visite.

Oh, un instant... Vous devez être le nouveau professeur nommé par dame Rhea. C'est bien vous, n'est-ce pas ?

Les rumeurs à votre sujet vont bon train, même dans ces souterrains. En ce cas, permettez-moi de me présenter. Constance von Nuvelle.

C'est un plaisir de faire votre connaissance, ho ho ho.

Qui diantre êtes-vous ? Je ne peux croire en avisant votre mise que vous comptez parmi les résidents habituels de l'Abysse.

Êtes-vous de passage ? L'on ne peut que s'interroger sur l'objet de votre visite.

Oh, un instant... Vous devez être le nouveau professeur nommé par dame Rhea. C'est bien vous, n'est-ce pas ?

Les rumeurs à votre sujet vont bon train, même dans ces souterrains. En ce cas, permettez-moi de me présenter. Constance von Nuvelle.

C'est un plaisir de faire votre connaissance, ho ho ho.

Salut. Ça n'a pas l'air d'aller très fort. Je ne peux même pas imaginer ce que vous êtes en train de traverser.

Je sais que c'est douloureux mais ne perdez surtout pas espoir, d'accord ?

Un jour, vous accepterez ce qui est arrivé. En attendant, vous avez un tas d'amis sur lesquels vous pouvez compter. Moi y compris.

Qui êtes-vous ? Attendez, taisez-vous et laissez-moi deviner.

Vous êtes le nouveau prof, pas vrai ? On vient de vous confier une classe à la surface.

Ici aussi, les gens parlent de vous. Même si certaines rumeurs étaient complètement à côté de la plaque.

J'avais entendu dire que vous étiez pas mal, mais il faut pas croire tout ce qu'on entend.

Bonjour, Professeur. Comment ça va ? Et les affaires, ça marche ?

J'aimerais bien discuter plus longtemps, mais je suis super occupée à gagner de l'argent. Vous savez ce que c'est.

Bonjour, Professeur. Comment ça va ? Et les affaires, ça marche ?

J'aimerais bien discuter plus longtemps, mais je suis super occupée à gagner de l'argent. Vous savez ce que c'est.

J'ai entendu dire que Jeralt nous avait quittés... Toutes mes condoléances.

Je l'ai connu bien avant de vous rencontrer.

Il était toujours si sympathique et agréable... C'est vraiment une perte terrible.

Il y a des troubles partout, ces derniers temps. Aucun de mes collègues marchands ne semble épargné.

J'espère que les choses vont bientôt revenir à la normale. Mes bonnes affaires sont loin de suffire pour redonner le moral aux gens.

L'Abysse ? Cet endroit vous intrigue ?

Des couloirs tentaculaires qui s'étendent sous Garreg Mach... C'est ça, l'Abysse.

Des gens s'y sont installés... Bien sûr, ils ont leurs raisons, et bien des histoires à raconter.

Mais seuls les marchands les plus audacieux osent s'y aventurer. Si vous voulez mon avis, vous ne devriez pas vous en approcher.

Écoutez donc, j'ai un truc à signaler.

Enfin, ce n'est peut-être pas le moment. Vous avez pas l'air dans votre assiette. Y a quelque chose qui vous turlupine ?

Si vous avez un truc à signaler, vous pouvez venir me voir. Les amis c'est fait pour ça. Mais si vous avez besoin d'argent, allez voir ailleurs si j'y suis.

Écoutez donc. Vous venez de la surface, pas vrai ? Qu'est-ce que vous venez faire par ici ?

Une minute... Ah, je vois. C'est vous, le nouveau professeur. Dans ce cas, je pense que je peux vous laisser passer.

Bienvenue dans l'Abysse, si on peut dire. Les gens d'ici sont pas des enfants de chœur, alors faites attention à vous.

Il y a comme une odeur de soufre dans l'air, ce mois-ci, non ? Garreg Mach est sous pression. J'ai peur que ça finisse par exploser.

C'est exactement pour ça que je reste dans mon coin depuis toutes ces années.

Quand les choses vont tourner au vinaigre, je n'y serai pour personne.

Le capitaine Jeralt a été tué ?! Je n'arrive pas à y croire...

Après tout ce que j'avais entendu sur lui, je pensais qu'il était indestructible...

Il était tellement fort ! Comment a-t-il donc pu... Pardon, c'est déplacé.

Ah, je vois. Vous êtes l'enfant de Jeralt. Vous ressemblez tellement à votre mère.

Je ne vis plus au monastère depuis un certain temps, parce que... oh, peu importe.

Puis-je vous demander un service ?

Auriez-vous l'amabilité d'aller cueillir quelques fleurs pour orner la tombe de votre mère ?

Je suis certain qu'elle serait heureuse de recevoir un présent de votre part.

Merci. C'est exactement le genre de fleurs qu'elle aimait autrefois.

Désormais, je pourrai enfin trouver le repos.

Bien, il est temps pour moi de prendre congé. Prenez bien soin de vous, je vous prie.

Et de Jeralt, également. C'est ce qu'elle aurait souhaité.